Chalet Alexandre - Inventaire du patrimoine - Page 7

 

Description

Localisation Gironde - Lormont  Réf. I IA33001361

Adresse : route de Bassens

Titre courant : maison dite Chalet Alexandre

Dénomination : maison

Couverture : toit à longs pans ; pignon couvert ; demi croupe


Décor

Technique : céramique ; menuiserie

Représentation : ornement géométrique

Les murs sont recouverts de céramique formant des encadrements et des tableaux composés de carrés et de losanges. Les rives des toitures. les balcons et les baies sont ornés Iambrequins de bois découpé.


Commentaire descriptif

Située sur le plateau de Lormont, au carrefour des nouvelles routes et des anciens chemins, entourée d‘un parc boisé, la maison profite d'un large panorama vers la vallée de Ia Garonne. L'ensemble est composé d‘une maison, d'un logement de gardien et de dépendances. La maison est constituée d'un corps de logis à un étage carré et un étage en surcroît flanqué au nord de deux pavillons a un étage carré reliés par une galerie. Les murs pignons forment les façades principales de chaque corps de logis. Un balcon règne à l’étage sur toutes les élévations. Les murs paraissent bâtis en moellons et briques mais ils sont recouverts d'un décor de céramique et de bois découpé. Des toits à deux pans couvrent le corps de logis et les pavillons. Des lambrequins en bois découpé ornent les avant-toits et les balcons. L'intérieur n'a pas été visité. Un logement de gardien en mauvais état présente un étage carré couvert d‘un toit de tuile plate ; les murs en moellons sont ornés de briques et le toit forme diverses avancées dont les rives sont agrémentées de lambrequins en bois découpé. Une dépendance composée d'une écurie et d'un logement à un étage carré et comble éclairé par un oculus semble reliée au logement de gardien par une terrasse : elle est couverte de tuile creuse. Un mur avec portail et porte piétonne a grilles clôture le jardin.



Note. Ces informations proviennent de la notice de classement à l'inventaire général du patrimoine rédigée par Marie-Hélène Maffre